Les premiers signes de la ménopause apparaissent en moyenne vers l'âge de 45 ans. Mais certaines femmes peuvent débuter la ménopause beaucoup plus tôt, parfois même vers l'âge de 20 ou 25 ans.

Cette ménopause précoce peut avoir une explication naturelle, mais le traitement anticancéreux (p. ex. en cas de cancer du sein) par hormonothérapie ou chimiothérapie peut aussi en être la cause.

Pour mieux comprendre ce qui vous arrive, il est important d’être correctement informée. Vous pouvez également consulter votre médecin pour en discuter.

Il est possible que vous soyez en ménopause précoce si vous avez moins de 40 ans et que vous n'avez pas eu de menstruations depuis au moins quatre mois.

Quand parle-t-on d'une ménopause précoce ?

Si une femme âgée de moins de 40 ans n'a plus ses règles depuis au moins quatre mois et si son équilibre hormonal s’est fortement modifié, il peut s’agir d’une ménopause précoce. Dans ce cas, l’ovulation ne se produit plus et les taux d'œstrogènes diminuent. Par contre, les taux d'autres hormones telles que la FSH (hormone folliculostimulante, c.-à-d. qui stimule la croissance des follicules) et la LH (hormone lutéinisante), sont supérieurs à la normale.

C’est souvent lorsqu’elles arrêtent la pilule ou un autre contraceptif hormonal que ces femmes découvrent qu'elles n’ont plus leurs règles. Un médecin peut confirmer la ménopause précoce à l'aide d'un test sanguin. Ce diagnostic peut être difficile à accepter et lourd à porter, au niveau psychologique et émotionnel. Il est donc essentiel de pouvoir en parler et partager son expérience avec d’autres.

Insuffisance ovarienne prématurée (IOP)

La ménopause précoce est également appelée « insuffisance ovarienne primaire » ou « insuffisance ovarienne prématurée » (IOP).

Ces termes indiquent un arrêt de la fonction ovarienne, l’absence de follicules en croissance et donc l’absence d'ovulation, ce qui rend toute grossesse impossible.

L'hormonothérapie et la chimiothérapie sont-elles une cause fréquente de ménopause précoce ?

Une cause fréquente de ménopause précoce est l'hormonothérapie ou la chimiothérapie.

L'hormonothérapie et la chimiothérapie sont également une cause courante de ménopause précoce. Ces traitements bloquent l'action des hormones naturelles telles que les œstrogènes pour empêcher le développement des cellules cancéreuses dites « ER+ » (= positives pour les récepteurs à œstrogènes).

Cette ménopause secondaire au traitement anticancéreux est donc artificielle et chez les jeunes femmes, elle peut être réversible : à l’arrêt du traitement, les cycles peuvent reprendre avec un retour des règles au bout d’un certain temps.

Pendant le traitement par hormones ou chimiothérapie, vous pouvez ressentir des malaises tels que des bouffées de chaleur.

Les femmes traitées par hormonothérapie ou chimiothérapie présentent ainsi une ménopause précoce et souffrent souvent de bouffées de chaleur et de sueurs nocturnes.

Pour soulager ces inconforts, il existe des solutions à action non hormonale telles que Sérélys. C’est justement grâce à cette absence d’effet hormonal que Sérélys peut être utilisé pendant ou après une hormonothérapie ou une chimiothérapie.

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Mais n’oubliez pas : la sécurité avant tout ! Veuillez consulter votre médecin ou votre pharmacien avant d'utiliser tout produit contre les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes.

Bouffées de chaleur causées par l'hormonothérapie ou la chimiothérapie

Les femmes présentant une ménopause précoce secondaire à l'hormonothérapie ou à la chimiothérapie, peuvent également souffrir de bouffées de chaleur et de transpiration excessive. Ce type de traitement bloque la production naturelle d'œstrogènes pour empêcher le développement des cellules cancéreuses.

En raison de la réduction des taux d’œstrogènes, le risque de bouffées de chaleur et d’accès de transpiration augmente chez les femmes et les hommes traités par hormonothérapie ou chimiothérapie.

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Quelles sont les autres causes possibles de ménopause précoce ?

Vous pouvez aussi entrer en ménopause précoce, de façon naturelle. Cela se produit lorsqu'il ne reste pas assez d’ovules.

Ménopause précoce naturelle

À la naissance, les femmes ont un capital de 1 à 2 millions d’ovules. Ce nombre diminue au cours de la vie, et au moment de la ménopause, il en reste environ 1000. S’il n’en reste pas assez, le cycle menstruel s’arrête. Une ménopause précoce peut survenir car la réserve d’ovules est déjà  épuisée à un jeune âge.

La ménopause précoce peut également se produire en raison d'anomalies chromosomiques. La réserve d'ovules est alors naturellement très petite.

Anomalies chromosomiques

En cas de certaines anomalies chromosomiques, notamment au cours du syndrome de Turner ou du « syndrome du X fragile », la réserve d’ovules peut également être réduite dès la naissance.

La ménopause précoce peut également avoir une cause génétique.

Cause génétique

La cause peut également être génétique et la ménopause précoce peut ainsi être héréditaire.

L'endométriose est également une cause de ménopause précoce.

Endométriose

L’endométriose (ou prolifération de la muqueuse utérine) peut également être une cause de ménopause précoce.

Lorsque les ovaires sont enlevés, la femme entre également en ménopause précoce.

Ablation des ovaires

L’ablation des ovaires provoque également une ménopause immédiate et donc parfois précoce.

Les problèmes de thyroïde sont une cause possible de ménopause précoce.

Glande thyroïde

Parfois, la ménopause précoce est également liée à la glande thyroïde, notamment au cours de certaines maladies auto-immunes.

La sécurité avant tout !

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Quels sont les symptômes ?

Les symptômes d’une ménopause précoce sont semblables à ceux de la périménopause (c.-à-d. la période de transition vers la ménopause définitive, qui débute lorsque les ovaires ne produisent plus régulièrement l’hormone œstrogène).

Ils apparaissent souvent lorsque la femme arrête sa contraception hormonale. De nombreux inconforts peuvent apparaître chez la femme présentant une ménopause précoce. Les symptômes fréquents sont similaires à ceux de la périménopause :

La ménopause précoce présente les mêmes inconvénients que la ménopause vers l'âge de 51 ans.
  • Plaintes psychologiques, p. ex. sautes d'humeur (irritabilité), problèmes de concentration et crises d'anxiété

  • Règles irrégulières 

  • Diminution de la libido, à cause de la sécheresse vaginale

  • Perte de cheveux et ongles cassants

  • Prise de poids

  • Fuites urinaires ou infections des voies urinaires

Comment remédier aux inconforts d'une ménopause précoce ?

Il existe également un certain nombre de solutions aux désagréments liés à la ménopause précoce.

Quelles sont les solutions ?

Pour soulager les désagréments de la ménopause précoce, il existe un certain nombre de solutions qui sont également utilisées pour résoudre les inconforts de la (péri)ménopause. Un traitement hormonal de substitution (THS) peut ainsi être prescrit.

Il faut néanmoins noter que le THS ne peut jamais être combiné à une hormonothérapie ni à une chimiothérapie. Si vous présentez une ménopause précoce secondaire à l'hormonothérapie ou à la chimiothérapie, le THS n'est donc pas une solution sûre pour vous.

Heureusement, il existe également des solutions naturelles à action non hormonale que vous pouvez utiliser.

Un mode de vie sain peut contribuer à maîtriser les désagréments liés à une ménopause précoce.

Un mode de vie sain

Il est également très important de maintenir un mode de vie sain : avoir une activité physique suffisante, ne pas fumer, avoir une consommation modérée d’alcool, manger peu de sel et de mauvaises graisses.

De plus, la réduction de la production d'œstrogènes est également associée à un risque plus élevé d'ostéoporose. Il est donc recommandé aux femmes présentant une ménopause précoce de maintenir des taux suffisants de vitamine D, notamment en prenant un complément de vitamine D.

On suspecte également l’existence d’un lien entre le diabète et la ménopause précoce.

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